Des anges
Je leur dédie ces vers, aux forces agissantes,
Afin que si ma main s'affranchit de mes jours
Et ensemence un peu notre commun séjour -
Un faisceau vagabond que notre rime enchante -
Leur souvenir, que sont ces mythes incertains
Questionnent le lecteur ainsi qu'un grand mystère
Et que soient aperçus ces secrets signataires
De ces joies qui résonnent en rimes de satin
Être béni de voir, en l'abîme profond,
Que des pattes au sommet, rien en moi ne répond
- Sinon à Un Vouloir ordonnant ses outils
Qui est causé d'en haut, et sublimé par une,
Nous leur sommes contraints, mais souvent trop petits
Pour apprécier, et rendre une telle fortune
Pour la bonté agissante,
RépondreSupprimerPour la douceur de nos jours,
Pour cet aimable séjour,
Ici je chante.
Si le mythe est incertain,
S'il s'élabore en mystère,
Le poète signataire
Sur ce satin
En fait un miroir profond
Qui à l'infini répond.
Par ces outils,
Le rimailleur de fortune
Ne se sent pas trop petit
Face à la lune.
Si je devrai être un ange j'aimerai être le tien,
RépondreSupprimerEt s'il faudra entre ton coeur et le mien,
Je bâtirai un pont de nos plus beaux songes,
Et j'embraserai la volupté entre nos échanges !
-A-