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Affichage des articles du juillet, 2015
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Il est venu, ce temps, ou le dernier prestige T'a porté loin de nous et de nos bavardages J'entends que tout frémit comme un cœur qu'on afflige : La lune est triste et belle ainsi qu'un coquillage Quelque part au matin, je voudrai m'évader Vers Saint-Florent-le-vieil, et descendre la Loire L'histoire lumineuse à tout, ici, gravé Peut-être je pourrai, en elle, te revoir La voie de Mille-pieds encore, un peu, se marre De notre ombre riant tout au long du chemin Loin de l'agitation, ce souvenir m'égare Loin d'aujourd'hui, rêve à te recroiser demain Ton absence à présent est un fait qui désarme Et la lueur provient, intérieurement Du courage d'antan, largement teint de charme : Tout l'honneur est pour nous d'avoir eu ce moment. Qui verra dans ces lignes un hommage éternel À la douce sagesse, et à l'élévation ? À ton âme apaisée, la mort n'est pas cruelle c'est une poésie que de toi, nous savons. Mon univers orbite à prés