Articles

Affichage des articles du mai, 2014

fonte

Image
L'été, en s'avançant timidement entoure Quelques vœux formulés en un temps pubertaire Tout se dresse, estival, dénudé et précaire L'estival envoutant est patte de velours Autours des chats, les fripes ont diminué de deux Un alizé coquin, Montréalais, inflige Aux robes, une élection soulevée de litiges Les promeneurs sourient - nous nous trouvons joyeux De ces doux incidents, je ne souris plus guère Ce n'est que l'animal à poussé des œillères - C'est qu'il vit chaque jours un choc peu répandu La réaction puissante et thermonucléaire De nos mains réunies, de ses cheveux dans l'air Au soleil, je la vois et mon cœur est fondu

réponse en 8

Et puis dans ces contrées qui n'ont Que quelque rêves en patrimoine Les espaces éloignent les noms Que poussent une rime océane Nos amitiés viennent dailleurs D'un état sans démarcation Quittez vos restes, travailleurs ! Construire loin, c'est rémission
J'ai compris, samedi très tard Ce que de nous nul n'a saisis Que notre étreinte est un retard, Toute autre joie est amnésie Nulle durée n'est suffisante À pleinement te respirer D'un éclat, l'ivresse adjacente Fidèle et si peu déclarée Voudrait scléroser nos deux âmes En ces instants où, confondus D'amour, formons un amalgame Tant supérieur et suspendu