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Affichage des articles du juin, 2011

Saveur

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Un orage est passé, et la terre est humide. Dans la faille timide, Semble s'infiltrer l'eau et je vois accourir La, dans les soubresauts quelque muse agissante ; Dans l'herbe scintillante, Moins que rien de tenue semble la recouvrir (...)
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Boston et les Bruins Ont complété la leçon - Saison de mystères...

L'indésirable

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Vous envierez un peu l'éternelle estivante Déjectant l'estival, et ce qui certain fût,- Les joyeuses ripailles et partagés abus - Dans la tartuferie d'envies concomitantes. Une salopée peste harcelant les amis Mollarde la besogne, imite bassement Ce que l'aliénation digère lentement : Certes il était plus jeune - et c'est une infamie Justifiant de compenser l'idée par les coups. Oh ! Dîtes-lui vraiment que je ne veux jamais Plus de ses tristes maux entre mes guillemets Qu'en l'apex incompris, je veux voyager où L’amitié a un sens - pour qui ne l'a pas su, J'écraserai peut-être une froide sangsue.

Melting square

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AM O UR MO C HE OC C AM U CARE RA M ES

Sonnet masqué

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Un code préfigure en toute énigmatique Anecdote ! subtil e en est parfois la note Quand plus que le sens l'est  - sa structure en dénote - L'on lit davantage en certains sens atypiques. Quand nous courbons les mots comme dans une élipse La souplesse est utile et ne peut être vaine L'inspiration qui est plus que plume écri vaine Plus qu'un bavardage en portée d'apocalypse ! Faudra-t-il louer demain pour emplir, aujourd'hui L'ami vidé de nos esthétiques lexies D'habitude dévoué es aux causes infructueuses ? Ou surgit du passé, au présent incolore L'amour qui est unique et maintenant encore Inavoué de mon fond sur ma page sinueuse.

Question de Principe

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Vérité Principielle, au désir qui la meut D'un été temporel et d'une plaie spatiale Occulte à nos iris cette échine absidiale Et de nos mains, le plan qui en nos traits s'émeut ! Fidélité du ciel, aux rapports baptisés De la dimension Une - mon amas, ma fortune ! Que n'ai-je en la chair quelque vision opportune Qui puisse maint éclats au jour d'hui révéler Dans la triste semence où nous comptons mesure. Phydias au panthéon complétement abjure Une mode éphémère ou l'art amuse un ton Si vainement humain ! Si vainement pensé Distant, trop, de l'inspir et de l'extase ansée Que des mains bien salies seules sculptent au fronton.

To Bab 3

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Il est cinq entités engendrant maladies; La force que renferme en eux tout les soleils De telle sorte agit que le corps affaibli De l'astrale entité subit quelques éveils La seconde puissance causant pathologies Nous trouble violemment d'entité vénéneuse Percevant nos manques en complexion, elle agit L' ens naturale qui use et se fait haineuse De tout déséquilibre. Puis l' ens spirituale S'entend d'esprits puissants qui blessent et débilitent Notre corps en puissance, nos désirs étoilés, Rongeant nos peurs et le temps sans y donner suite. Et de ces entités il existe cinq pestes Tout ceci est païen ainsi que la méthode Parallèle des soins. Certes, la plus céleste Est celle des Fidèles, et d'une foi costaude Dont le Christ et les disciples furent exemple. Les précédant, les Caractéristiques agissent Par le Verbe et un maître fût en Albert (l'ample !) Qu'il convient de ne pas comparer à Rhazis Ou à Galien qui traitent du froi