Tel ces manques de l'autre, absent, qui nous traversent
- Tu remplissais mon cœur, et aujourd'hui mes vers-,
Nous avons traversé l'été comme l'hiver

Et ainsi qu'aujourd'hui, je ne pense qu'à toi,
Que ce manque en mon sein ne cesse d'inspirer
Quand il ne sera plus, j'irai te respirer

Commentaires

  1. La douceur est ainsi obtenue, aux étables,
    Aux sous-bois, aux jardins, alentour d’une table,
    Quant vibre au coin du feu l’air du grillon chanteur.

    Bergère et son berger partagent du vin sombre :
    Ici, pas plus d’écart qu’entre un corps et son ombre,
    Et les jours ont pour eux d’identiques senteurs.

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