Réponse
C'est le rythme tout entier, dans tes mots qui se succèdent
C'est te boire, et respirer ton arôme et tes paroles
Autant qu'au pâté de thon, le petit Felidae cède,
Tu me subjugues, en passion, et je loue ton auréole
Quand tu me demandes, ainsi, qui le premier de nous deux
Embrasera nos attentes, et notre proche synthèse
Je réponds pas un miroir envoyant le reflet de
L'objet qui lui donne un sens au-delà des hypothèses
Et cimenté dans le froid et le devoir qui s’étend
Le gel, et toute inertie se transforme en illusion
Cette fièvre qui m'allaite en spontanée combustion
Se propage - une folie virale, et très poétique !
Mon cœur prétends à ton cœur, - de nature comestible
Nous serons, du monde entier, l'épicurien combustible
Échangeant nos verbes,
RépondreSupprimerCherchons à nous consumer
Qans laisser de cendres.
Retouche :
Supprimer"Sans" laisser de cendres.