Est devenue un vent
En traversant l'ormille,
Rapprocher les familles -
Était une prière
Déjà, hier...
Est devenue un vent -
En arrière, en avant,
M'a tiré, et me guide
Soufflée, fluide
Cette triste recluse
Qui s'entendait la Muse,
De pardon n'a soufflé
Mais, essoufflée
L'alizé capricieux
Tôt, revient, audacieux
Sur ce qu'il a détruit
Qui l'a instruit ? -
En demeurant fidèle
Aux seules hirondelles -
Dont le ciel est terrain
Des cieux, nourrain -
Je peux rendre à ce vent
Son caprice éhonté
Son objet décevant
Trop exploité
Printanière évidence
De l'humaine alliance
Les amis remportés -
Nos raretés....
Tant portés par les cœurs
En merci, en rancœurs,
A différents endroits
Et gauches, et droits -
Persistent, à l'intérieur
L'amant, le pourfendeur
Coexistent à présent -
D(')eux, suffisants -
Rejetant l'impuissante !
La rime anoblissante
Nous provient de l'ami -
Dichotomie
Mais qu'ont-ils donc fait là ?
RépondreSupprimerLa fleur épanouie
Tenue entre leurs bras,
Qui la croit abolie ?
Et ce feu dans les coeurs,
Et ce violent émoi,
Plus fort que le malheur
Pesant de tout son poids.
La poésie mourra ;
Et sa calme beauté
Au jour de son trépas
Cessera de chanter ;
Rien n'est à regretter.
Au terme du voyage, le titre d'ami peu le mériteront: le Sage, l'enfant terrible en seront.
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