Essai de Pindare - Manas






                                     Ô disciple,
Duquel, aux contours de l'Antahkarana
Qui hésite le vent, et plus le souffle
Dépend, au plus fidèle unis-toi,
La Buddhi louant,
Spontanée,
Non vétuste !
Et autrement découvre en autre temps






*** De la difficulté de la violence intérieure. L'innocence du savoir pur en tant qu'âme incarnée, dont l'équilibre est supporté par l'ajustement perpétuel des consciences - puisque l'Absolu doit distinguer des mondes/consciences différents, conformément à sa nature, Sainte, pleine - et qui ne peut se résoudre  en effet que dans une relation de réciprocité absolument fluide.
Que, par ensuite, nous découvrions le lien, qui ne doit pas leur être attribué à elles-mêmes (les consciences), mais à un troisième, par où elles se relient infiniment, quoi que 'spontanément', voilà pourquoi le disciple est conseillé de s'unir au fidèle.

Le travail de rester (proche du) fidèle, - le savoir l'art -, lors d'épreuves positives, d'être ferme dans le discernement. Le discernement est-il intensément exercé,  alors maintient-il sa force dans le dispersé. Parce-qu'au tranchant affilé qui est propre à ce dont il est issu - Buddhi -, il reconnaît facilement les yeux de l'Ahamkara sous l'habit des regrets - c'est le vétuste.

Ainsi s'avance l'âme qui, pour son propre salut, respecte ses choix et leur causes, les laissant agir sur elle-même jusqu'à la surprise (etc...) - c'est une autre pensée.

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