Avril je ne vous fuis
Avril, je ne vous fuis,
Jadis, le fis -
L'hiver l'a surpassé
Tous, au passé
Quand vient ce clair printemps
- ces vers qu'attends
Le mémoire olfactive
Déclarative
Là, dans nos solitudes
Résonne une habitude
Aussitôt consommée
Tôt enflammée -
Souvenir qui se halte
- Et qui exalte
Une cendre émouvante
Ô, survivante
Son gris n'est de confiance
Volatile alliance
En espoirs abrégés
Endommagés
Si loin est ce baptême
Illuminé au même
Principe qui m'élit
Ailleurs, me lie
Car je - tant d'elle ivre -
M'opiniâtre à suivre
En miaulements hagards
Son pur regard
Le canal demande
RépondreSupprimerOù est passé le printemps ;
Le ciel ne dit rien.
Lien vers un beau texte
RépondreSupprimerSur le blog d'un camarade,
Qui pourrait te plaire.
Merci pour ces lignes
RépondreSupprimerToujours les Yakshas résonnent
Dans un beau sourire