Car ce n'est certes pas, l'engeance de la fuite
Qu'une fois, parait-il, d'un duo mandaté
L'une - et l'on ne sait qui - aurait admonesté
Les séquelles à autrui, qui rédigera suite
Et concluera vraiment ce que je vois ouvert.
Toi, Princesse tout court, de ce tourbeux Talion
Tu omets d'énoncer pourquoi rugit le lion,
Pourquoi, mignon félin, le gêne un découvert :
Et ce ne sont pas tant ces bourgeons sans odeurs,
Ces fleurettes de rue, que ce que t'avais dit
Un fou dont tu aurais pu louer, à bon prix,
La folie et oser, - et oser pour une heure -,
Qui appose un cachet quatre fois éploré.
Ô menteuse éhontée ! Première enchanteresse,
Qui point donc n'a manié cette argutie perverse,
Paradoxe assassin d'émaux élaborés ?
Des prétextes récents me soulèvent le cœur,
Mais La Muse Éternelle, en un jet m'a vidé !
Salves, flêches et recul - rien du faux validé
De familles, Mesdames, n'absout le négateur.
J'ai lu, je ne sais ou, demain se lève un astre -
Nous verrons si son rai clair illumine, ou fauche,
Mes vers ou mes silences ; un vol, à droite, à gauche,
Verrons-nous ce que voit un soleil sans désastre ?
Agréger le silence pour se remplir de vide
RépondreSupprimerNous étions clandestins d'avenir sans destin
Triste cet arc-en-ciel car nos chants se sont tus
Ô s'il fallait oser au 'mais' auquel on panse
Ni semer le divin mais bien celui qu'on pense
Il faudra patienter dans ce tunnel du temps
Ne le dis à personne - Renaître vers l'ailleurs-
Quand se lève un astre
RépondreSupprimerPour chaque saison nouvelle,
Rénovons nos coeurs.