Félin pour l'autre



Je loue la mie féline, et son soyeux éclat
Qui adoucit le temps et courbe les auspices
- Ainsi que son échine au seul instant propice !
J'admire la crinière (et puis ses corrélats)


Que nous soyons, ou pas, fétiches du félin,
Le nier est inutile, il existe en nos vies
Et toute sa cambrure abroge les envies
Éparses d'autres chat(tes) - Étalon aquilain !


Un miaulement éveille un penseur en sursis ;
Entre béantes pattes, un présent endurcit
Et sa foi dans le Haut, et son jonc structurel -


C'est que, dans l'inertie de la boue fut conduit
Le sauvage d'hier, le fauve d'aujourd'hui
Et de demain encore, la griffe de nos zèles.

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