À l'Hôte Vibrante



Ô féline lointaine, il reste, je veux croire,
Telle une fumée libre, un jeu incandescent -
L'écho de l'harmonie de nos cœurs adjacents,
Quand s'en sera finit, la liberté de voir ?

Une topologie nouvelle n'entrevoit
Des chroniques tracas, ensemble, qu'un sourire.
Un trajet, bien que long - quand bien même ton pire,
S'illumine d'un rai selon qui t'y envoie

Et fait choir en nos destins, une mécanique,
Des coups d'obscurité, un froid océanique
Qui n'existe vraiment - il n'est que temporaire.

Car aucuns des orages en Juillet ne recouvre
Assez les rares lignes, qu'assidu je découvre,
Résonner d'autrui est un bel itinéraire.

Commentaires

  1. Partager l'insomnie, partager un sourire,
    Même si ce n'est pas bien longtemps ni souvent,
    C'est comme naviguer, poussés d'un même vent,
    Trouver d'un même coeur le meilleur et le pire.

    C'est un accord qui semble impossible à construire ;
    Qui dira comme on tremble, un jour, en le trouvant?
    Mais dans cet univers chaotique et mouvant,
    On craint de ne pouvoir nulle part le conduire.

    Qu'il nous suffise alors d'un seul instant nocturne
    Chaque fois qu'au zénith on voit briller Saturne !
    Pour ce fatal instant, ce monde est advenu.

    J'entends sonner le glas, au clocher d'une église,
    De ce timide amour qui n'était pas de mise,
    Mais je n'ai nul regret de m'y être perdu.

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