Croassant les princes qui croissent



C'est à bien antho-ner de telles circonstances
À partager, rieurs, les affres du passé
Que nous puisons, séant, des espoirs incensés
Et la force, et l'envie, de reprendre une danse.

Cependant, qu'écrasés furent nos pieds habiles
Par le poids d'une histoire, bien que lourds et pesants
Se prolongea le rythme, et fort étonnamment
La Bachata oblige à nos membres un mobile !

Puis l'impuissante tête observe sans y croire
Maints éclats sculpturaux par ces pieds sitôt noirs
D'avancer malgré nous vers une autre demeure.

Oui mais ! Nous ne savons pas ce que nos pieds savent
Eux avancent et parfois, doutons-nous que se lavent
Du chemin les déchets, la minute d'une heure.

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