De ce carré d'érable aux effluves azurées Les regards s'interrogent à sa surface, enfin, De ce rouge carré, nul œil n'a mesuré Ni au ciel et plus haut, son début ou sa fin Non pas cette escarmouche entre les politiques, Pas plus qu'un syndicat manœuvrant quelques jeunes Pas la hausse évoquée des lycées mercatiques Ni la loi matraqueuse et, suivant, quelques jeûnes Forment un tableau conforme aux rouges de la rue Sont une mosaïque aux mêmes tons qu'ici Et représentent, en un , les chemins parcourus Les panneaux là, levés contre des inerties Alors, si Mon réal, je te devais un texte Eût-il fallu des mots, ou reproduire un son Des casseroles et des marmites à l'unisson ? Je cherche et je ne vois aucun autre prétexte
Pendant ma combustion, je devins impassible,
RépondreSupprimerJe ne me sentis plus rôtir dans la chaleur.
Qu'un évêque criard m'eût ce jour eue pour cible
Ne fut rien quand du ciel j'ai rejoint la couleur.
Plus ne chevaucherai en guerrier équipage
Pour tuer des manants ou des barons anglais.
Quand avec la chaleur ont fini ces tapages,
La Seine me laissa descendre où je voulais.
Si Jeanne d'Arc avait été un poulet...
RépondreSupprimerRégime Dukan-
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