De l'art d'amignonner le Felidae



En très soyeux contexte ai-je un art à livrer
Ô prime blondoyante, en ces plaies exophores
M'obliger est fiction, bien ardu, m'attirer ;
A quoi sert-il de feindre en l'oiseux réconfort

Féline palpation - ou une main tendue ?
Quand agir est voter, du faisceau je m'éloigne
D'un calme magnétisme ai-je ainsi entendu
Manifeste discours plus que mots ne témoignent.

De cette incarnation en objet de caresses
Me fais-je réflexion a qui veut s'abreuver
L'aptitude assumée, la rendre dogaresse
Ou omise et béante, de griffes l'éprouver.

Commentaires

  1. Comme je vous avais souri,
    Au grand galop vous accourûtes.
    Un peu de vin je vous offris
    Que bien rapidement vous bûtes,
    Et dans cet état un peu gris
    Certainement vous vous complûtes.

    Puis dans le fin fond de Paris,
    Regagner vos quartiers vous dûtes.
    Aux alentours de mon abri,
    Jamais plus en vue vous ne fûtes.

    Donc le sort fit que j'abrégeasse,
    Que plus vous ne m'accostassiez,
    Sans que trop je m'en inquiétasse,
    Non que vous m'indifférassiez...

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  2. A toute invite
    Copier-coller
    Un peu trop vite
    Las, Vous Allais...

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  3. Ça m'allait chatte
    Non pas l'élan de main
    Qu'ils alléchassent
    Non plus ce silence inhumain
    Aux passions marées basses
    Tout cela m'allait t-chat !

    (Tu me dois 1 gage..)

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