De ce carré d'érable aux effluves azurées Les regards s'interrogent à sa surface, enfin, De ce rouge carré, nul œil n'a mesuré Ni au ciel et plus haut, son début ou sa fin Non pas cette escarmouche entre les politiques, Pas plus qu'un syndicat manœuvrant quelques jeunes Pas la hausse évoquée des lycées mercatiques Ni la loi matraqueuse et, suivant, quelques jeûnes Forment un tableau conforme aux rouges de la rue Sont une mosaïque aux mêmes tons qu'ici Et représentent, en un , les chemins parcourus Les panneaux là, levés contre des inerties Alors, si Mon réal, je te devais un texte Eût-il fallu des mots, ou reproduire un son Des casseroles et des marmites à l'unisson ? Je cherche et je ne vois aucun autre prétexte
Pays de poissons aux yeux d’or
RépondreSupprimerDont la chair est décomposée
Et qui avec de grands efforts
Veulent maîtriser leur nausée.
Intoxiqués de volupté,
Ils passeront leur vie entière
A consommer de la beauté
Qui dans le fond n’est que misère.
Point n’est de fin à leurs désirs
Sous le froid regard de la lune,
Ils se prennent sans se choisir,
Leurs joies s’effacent une à une.