De ce carré d'érable aux effluves azurées Les regards s'interrogent à sa surface, enfin, De ce rouge carré, nul œil n'a mesuré Ni au ciel et plus haut, son début ou sa fin Non pas cette escarmouche entre les politiques, Pas plus qu'un syndicat manœuvrant quelques jeunes Pas la hausse évoquée des lycées mercatiques Ni la loi matraqueuse et, suivant, quelques jeûnes Forment un tableau conforme aux rouges de la rue Sont une mosaïque aux mêmes tons qu'ici Et représentent, en un , les chemins parcourus Les panneaux là, levés contre des inerties Alors, si Mon réal, je te devais un texte Eût-il fallu des mots, ou reproduire un son Des casseroles et des marmites à l'unisson ? Je cherche et je ne vois aucun autre prétexte
Marchant jusqu'au palais qui a sept ouvertures,
RépondreSupprimerJ'ai demandé au roi de placer des gardiens,
Auprès de chaque porte, et qu'ils regardent bien
Ce qui entre et qui sort, en fait de créatures.
Voici donc ces bestiaux, tous, selon leur nature :
L'éléphant, le dragon, le loup, les acariens,
Le coq, le paon, le porc et quelques amphibiens,
Tels sont les animaux qui par là s'aventurent.
Puis, le paon et le coq, on les métamorphose
En aigles des sommets; le loup, en autre chose
Qui mieux sache écouter la voix de la raison.
Le porc et l'éléphant, sous leur forme nouvelle,
Deviendront vos chevaux. Mettez-leur une selle,
Et vous chevaucherez vers les quatre horizons.