Le con centré




La fleur si mal me sied, tellement elle est belle -
L'on croirait en ses yeux un nous sans concessions
Ô puissé-je des miens dénouer l'affliction
Qui de nos temps communs prolonge l'idéel !

Ami qui ces mots lit, requis est ton conseil ;
Toi dont l'esprit puissant à su analyser
Du miel la saveur - de la femme, beauté
En maladroites rimes s'ouvrent grand mes oreilles

Près d'elle sont restés mes vers indociles,
Mouvante gravité vers un état subtil
Nouveau et mystérieux, que je ne peux crier

Et si cela n'est pas charge si dramatique
Que même - quelque part -, s'en soit initiatique :
Sur quelque chose enfin, je voudrai raisonner.

Commentaires

  1. Sitôt qu'une équation pour le chercheur est belle,
    Il peut la transformer, conservant sa beauté.
    Les termes rajoutés, transposés ou ôtés
    La feront scintiller d'une lueur nouvelle.

    Si, au lieu d'équations, ce sont des demoiselles
    Dont tu vas admirant les nobles qualités,
    Tu ne peux rien changer, donc, tu dois respecter
    Toutes celles à qui tu veux être fidèle.

    Comme tu as raison de le trouver subtil,
    Le parcours de Thésée, même muni du fil
    Qu'Ariane a déroulé pour lui avec tendresse ;

    Et quant à recevoir d'un ami les conseils...
    Ah, je te remercie pour un honneur pareil,
    Mais dans mes propres choix, j'ai bien faible sagesse.

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