De ce carré d'érable aux effluves azurées Les regards s'interrogent à sa surface, enfin, De ce rouge carré, nul œil n'a mesuré Ni au ciel et plus haut, son début ou sa fin Non pas cette escarmouche entre les politiques, Pas plus qu'un syndicat manœuvrant quelques jeunes Pas la hausse évoquée des lycées mercatiques Ni la loi matraqueuse et, suivant, quelques jeûnes Forment un tableau conforme aux rouges de la rue Sont une mosaïque aux mêmes tons qu'ici Et représentent, en un , les chemins parcourus Les panneaux là, levés contre des inerties Alors, si Mon réal, je te devais un texte Eût-il fallu des mots, ou reproduire un son Des casseroles et des marmites à l'unisson ? Je cherche et je ne vois aucun autre prétexte
Tout en ma maigre forme étonne l'inertie Et je surprends mon esprit d'exister encore Mais de rien, je déterre une force infinie - Les vagues de la nuit n'ont pas détruit mon corps. Tout, en mon faible esprit consterne la raison Moi qui connait - un peu - les tréfonds de mon âme Sait combien je voudrais tomber en pâmoison Contredire, un instant, ma résistance infâme Aux coups l'on s’accommode ainsi qu'un étrier Mais de celui d'avoir ne sais-je m'habiller Et j'avance en voulant écrire davantage. Car embrasser vraiment, de fureur ma douance - À ne pas succomber, me permet l’existence - Et l'indolence acquiesce à mes accès de rage.
Le chat noir a Noël réfléchit sans malice Ressasse les instants qui l'ont armé griffu Son fol éclat d'antan peut sembler moins touffu, Il semble délesté de fourrure et de vices. S'il a quitté longtemps sa féline fratrie Il n'a point oublié le chemin du retour ; Les lynx et les renards, la neige et ses contours Désormais, ce jardin est un peu sa patrie. Pour sa prochaine vie, quoi rêver à présent ? De vieilles retrouvailles, rien de trop reluisant Tout ça peut bien tenir dans un destin de chat Et s'il reste du thon dans le monde prochain, Il sera monnayable, (nous en sommes certains) : Et le temps sera pris pour un prochain achat.
L'eau, quoi de plus simple,
RépondreSupprimerSi l'on croit les apparences;
Mais quand le chimiste
Voit les liens des molécules,
Il reste perplexe.
Plutôt:
RépondreSupprimer"Il se retrouve perplexe."