Félin songeur, a ses heures...

Éclatant, parfois de nos regards convergents Vers un même horizon, la même nostalgie De ce nu fort ancien, de ce nu affligeant Aux absurdes fantoches par l'ignorance agis. Pour de bon l'ermite erre en un mythe et son art, Quand ce jour d'hui ne luit plus qu'un maigre reflet De son intensité - d'un regret, le miroir Est visible en ce solitaire chevalet. Du désir scintillant d'une flamme a l'extrême Orient de non-dits pour la toute répandre Cristallise à nouveau ce torride diadème Et son éclat ancien moralise les cendres.

Poursuivant une cause impropre à mon espèce De qui l'ample dessein est de tenter le Juste Équilibre ! - Fragile et vain essai qu'ajustent Les tristes expériences de nos propres Hadès -, Je me découvrais chat - bien que moins distingué Que mes semblables chats - la forte inclination D'un esprit félidé pour d'élevées questions M'éconduit de ces fauves, me laissant divaguer Jusqu'aux autres humains. Oiseau parmi le ciel Dés lors, à grand coup d'ailes, m'appliquait aux merveilles Qui me passionnaient tant, sans forcer l'habitude. Mais, des ordinateurs de ce monde nouveau Surgit une pensée de mon félin cerveau : Des pattes et d'un clavier, combien de turpitudes ?

Cependant que tes mots éveillent sa puissance A ce captieux penchant dont tu dépeins l'effet, Puis, survient, en nos vies - (qui vivons de ce fait Trop souvent, parmi les attraits, les réticences), L'accablante distance tel un grand magicien, De nous-même à nous même, sitôt de nous salie, Sur l'esprit observant la puissance abolie, De courage ranime l'audace de demain !

Elle, éclatante, nue, en le miroir, encor - Éteinte, étincelante et teintant en affixe - Qu'en la virtualité de ce cadre se fixe De ces émulations, sitôt, l'anémochore Par elle et elle encor, dédiant, ceint, l'éclat En nos plus belles lignes - par lesquelles, camuse La muse s'amusa au silence d'éthuse Au cu-rare et précieux, et à ses corrélats O nul jamais pourtant n'a de sa panacée Lénifié le courroux ni embrassé l'esprit Complexe qui, jusqu'à lui-même aura surpris - S'élevant dans l'ardu, et ne sachant assez S'aimer, tel que son penchant toujours en atteste ! - L'étreinte, ce désir, soutient profusément Maint songes sculpturaux, émaillés de diamants Tant souillés en surface, que d'intention céleste.

http://cdsweb.cern.ch/record/782057 http://cui.unige.ch/isi/ssc/phys/LaRecherche.html Qui, de l'antimatière, Ou d'un très ancien livre La liberté altère - En liberté enivre ? Ils t'ont menti Siva, les cancres de ta danse T'ont fait triste geôlier de notre prochain joug Aux quantiques hémioles dont présage se joue - Plébéienne cantique aux serments d'abondance ! De Shristi évoluée, de matière à anti Tes cinq activités, Ô Siva s'articulent En Sthiti , Samhara - intimes particules Crées et maintenues, dupées et repenties. Ils t'ont menti Siva, te plaçant au fronton De notre duperie et mon esprit s'inquiète D'observer, solitaire, l'objet de cette quête Nano-stockée, bientôt - béotiens Phaétons ! Que ne suis-je statue qui puisse, dans sa danse S'effondrer devant cet emploi que justifie Et son nom, et sa forme, et sa philosophie - Laissant, las, la matière, et transformant l'essence. http://courses.ae.utexas.edu/ase333t/past_projects/03fall/a...

Notre problème, ainsi, est celui de la rose - Une audience insensible - la méprise d'un art Dont l'œuvre du pétale, - qui jamais ne fût langue Se dévoile en beauté à l'odorat qui ose. Son parfum fluctuant d'acteur à témoin car Sur la même cadence, deux cœurs sensibles tanguent

D'une étrange occurrence naquit une question Dans l'esprit (tourmenté, aux dernières rumeurs) Du félin philosophe - est-ce une demie-heure La durée de l'orgasme des paisibles cochons ?

De ce froid si soudain, promptement entendu En morphème des maux, et questionnant l'esprit et mandant sa tutelle - qu'est-il donc advenu De la douce morsure et du tendre mépris De l'acte syllabique annexant à nos cœurs Tout ces fragments d'autrui dont nous étions friands ? Poétique invasion quand imposée se meurt Ainsi que les ardeurs du brasier trop ardent Par ce nœud exigeant qu'on accepta le doute D'une tétravalence - demeura inconnu Ce magique ingrédient qui en saveur ajoute : L'aromate de celle par qui poésie fût. Mais je lui rends hommage, aujourd'hui et demain A la muse extirpant mes plus nobles reflets Aujourd'hui trop brulant de sa flamme carmin - L'ignition, de bien plus, annonçant le couplet

http://ssd.jpl.nasa.gov/sbdb.cgi?sstr=2010%20AL30;orb=1 Comètes supposées Objets, paranoïa ? Phénomènes rêvés Et pourtant observables Aux confins de la nuit : Cet effet échéable A la fin de nos fruits Malsains - Métanoia. http://www.cidehom.com/astronomie.php?_a_id=429

http://www.iphc.cnrs.fr/-Ethologie-evolutive-.html Biosphère étendue en gerbe des futurs Crypto science abrégée aux feux de l'eschatos Révélant en indices les atteintes qu'endosse Le proche voisinage d'indicible nature Un cancer libéral, ou une métastase Fermement combattu par un rayonnement Subtil autant que lourd ! Solaire évènement - Retour évhemèriste en allée d'épectase ! Complexe inextricable d'un vivant que réduisent Les nouveaux-nés du monde, les époux de balises O bientôt infirmées par une introspection. Quand humiliés, en rais de nos éthologistes Sur le plan d'immanence, d'essence spinoziste Renaît l'Absolu en fraîche compréhension

Universelle incise : L'harmonie dont un accord ment - Quoi me fît concevoir De cette proportion exquise Qu'elle n'était nullement ? Une non-pensée illusoire En mòfà oubliée De la Voie, le constant déclin - En synthèse stérile Excipe d'un courant Malin Le dévot de l'idylle

Il n'y a ni confiance ni fidélité, et il n'y a pas de connaissance de Dieu dans le pays. Malédiction, tromperie, meurtre, vol, adultère envahissent le pays et le sang fait suite au sang. C'est pourquoi le pays se dessèche et tous ses habitant s'étiolent, y compris les bêtes des champs et les oiseaux des cieux, et même les poissons de la mer disparaîtront. Livre d'Osée IV 1.3

Et d'un Kantien crispé à son autonomie (Protestant tourmenté de l'arbitre intérieur) Du freudien cultivant complexe supérieur (De Gide, les concepts sont largement admis) Avènement d'un moi, mais d'un moi amusé Ah, muse, et encor' cette intuition abuse Préscience muselée - la connaissance infuse Que scientisme et raison persistent à refuser Philosophie tombante aux tons naturalistes Ouvrent grand la Conscience aux oraisons monistes Confisquant sujet et objet au verbe 'aimer'. Et pourtant de souffrir existe nostalgie - Mais c'est une autre étude, c'est l'eschatologie Que courante logique persiste à diffamer

http://helios.izmiran.troitsk.ru/cosray/main.htm L a solaire cause Exploite un bouclier d'ondes Déjà mutilé http://science.nasa.gov/science-news/science-at-nasa/2008/16dec_giantbreach/ Ce qui devrait vivifier Engourdit, pour commencer http://www.chou4.com/ky/showArticle.htm?topTypeId=62&articleId=3449

Icare né, de mes zèles, esseulé et constant Incarné en ces ailes qui m'éloignent de vous Et vers les cieux me guident, aussi distants de vous Que de l'être est lointain l'ensemble des étants Incarné en i, car, c'est le point qui commence La droite du chemin qui jamais n'aboutit Traversée en Kairos d'un songe inabouti Qui depuis tant d'années patiente l'inclémence Vois s'annoncer la Fin, et fais-en souvenirs D'étincelles et de feu, un jubilé de cendres Dévoilant en ce jour le verbe d'un Cassandre Et son triste talent (que justifient nos ires) Sur le précieux dédale tombent les premiers signes O si clairs et si noirs, en funeste contraste Que bientôt les trésors de nos étroits dynastes De brûler au soleil voudront se montrer digne De Cassandre à Icare, du temps un intervalle De la cause et du fruit, la simple observation De nos zèles insufflant les émancipations - De nous-même à nous-même, constater le rival ? L'air ne supporte plus Astrale...

Chouan sis en nos cœurs Liberté choisissant Ne s'exerce vainqueur Qu'aux bouquets de son fruit Que sait taire sagesse - Au-delà de tout bruit Et des feintes liesses D'amours concupiscents