Ces lestes

Elle, éclatante, nue, en le miroir, encor
- Éteinte, étincelante et teintant en affixe -
Qu'en la virtualité de ce cadre se fixe
De ces émulations, sitôt, l'anémochore
Par elle et elle encor, dédiant, ceint, l'éclat
En nos plus belles lignes - par lesquelles, camuse
La muse s'amusa au silence d'éthuse
Au cu-rare et précieux, et à ses corrélats
O nul jamais pourtant n'a de sa panacée
Lénifié le courroux ni embrassé l'esprit
Complexe qui, jusqu'à lui-même aura surpris -
S'élevant dans l'ardu, et ne sachant assez
S'aimer, tel que son penchant toujours en atteste !
- L'étreinte, ce désir, soutient profusément
Maint songes sculpturaux, émaillés de diamants
Tant souillés en surface, que d'intention céleste.
Lorsqu'un sage transporte un morceau de diamant,
RépondreSupprimerIl le tient enfermé dans une toile grise.
Muni de son trésor, il traverse à sa guise
La ville et le désert, sous le grand firmament.
Roi qui d'une bergère est devenu l'amant
Avec simplicité en berger se déguise
Et sur les hauts plateaux monte affronter la bise,
Gardant royale allure et fier tempérament.
Roi ni sage ne suis, mais simple bateleur,
En chemin n'ai trouvé nul objet de valeur
Et ne fus séducteur de vive pastourelle.
Dans la toile, je n'ai que de quoi grignoter
Avec quelques copains marchant à mes côtés ;
Et je souhaite à ma muse autant de bien pour elle.