De ces temps amusés, ce sable, il m'en souvient, Comblait de cents faveurs d'intimes intervalles. La mer et son contours, de son trait idéal Baignait notre horizon dans un bleu alluvien. Et le radieux soleil, bien avisé parfois D'éclairer de ces rais si jolie concurrence S'éblouit prestement, ainsi que l'occurrence Qui se croyait unique, sans étudier sa foi. Et, vivifiante enfin, que sitôt disparue Vous altériez d'éclat - dont constance est contée, Ô l'astre qui pâlit devant tant de beauté ! Devions-nous composer avec cette lumière Triste compensation d'une histoire exploitée ? Les jours ont besoin de ce dont Femme est dotée.
Pendant ma combustion, je devins impassible,
RépondreSupprimerJe ne me sentis plus rôtir dans la chaleur.
Qu'un évêque criard m'eût ce jour eue pour cible
Ne fut rien quand du ciel j'ai rejoint la couleur.
Plus ne chevaucherai en guerrier équipage
Pour tuer des manants ou des barons anglais.
Quand avec la chaleur ont fini ces tapages,
La Seine me laissa descendre où je voulais.
Si Jeanne d'Arc avait été un poulet...
RépondreSupprimerRégime Dukan-
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