De l'art d'amignonner le Felidae

En très soyeux contexte ai-je un art à livrer
Ô prime blondoyante, en ces plaies exophores
M'obliger est fiction, bien ardu, m'attirer ;
A quoi sert-il de feindre en l'oiseux réconfort
Féline palpation - ou une main tendue ?
Quand agir est voter, du faisceau je m'éloigne
D'un calme magnétisme ai-je ainsi entendu
Manifeste discours plus que mots ne témoignent.
De cette incarnation en objet de caresses
Me fais-je réflexion a qui veut s'abreuver
L'aptitude assumée, la rendre dogaresse
Ou omise et béante, de griffes l'éprouver.
Comme je vous avais souri,
RépondreSupprimerAu grand galop vous accourûtes.
Un peu de vin je vous offris
Que bien rapidement vous bûtes,
Et dans cet état un peu gris
Certainement vous vous complûtes.
Puis dans le fin fond de Paris,
Regagner vos quartiers vous dûtes.
Aux alentours de mon abri,
Jamais plus en vue vous ne fûtes.
Donc le sort fit que j'abrégeasse,
Que plus vous ne m'accostassiez,
Sans que trop je m'en inquiétasse,
Non que vous m'indifférassiez...
A toute invite
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Un peu trop vite
Las, Vous Allais...
Ça m'allait chatte
RépondreSupprimerNon pas l'élan de main
Qu'ils alléchassent
Non plus ce silence inhumain
Aux passions marées basses
Tout cela m'allait t-chat !
(Tu me dois 1 gage..)