Par Élie !

Plusieurs soleils observer point n'est un fâcheux
Présage, multitude sitôt évanouie
Qu'octave y aurait vu, du trio épanoui
Un Lépide et Antoine à prêter au faucheux.
Des signes, la lecture, point ne se prétends science
Exacte ! La naïve clarté qui demeure
Survivra aux apparences et jamais ne meure
L'éclatante Justesse en rares alliances.
S'évanouiront-ils, les Sépulcraux caractères
Hors de moi, hors de nous et hors de cette Terre
La horde des horreurs patientant son entrée ?
Facilement déferlent à présent les futurs
Et d'un Trait de dessein créent caricature
Les parhélies qui ne nous livrent plus denrée.
Le ciel est assez grand pour quatre-vingt soleils.
RépondreSupprimerPour peu que quelques-uns s'avèrent invisibles,
D'en avoir beaucoup plus, il nous serait loisible
(Certes, cela pourrait troubler notre sommeil...)
'J'ai fait cet étrange rêve
RépondreSupprimerOù nous étions tous deux
Auréolés de bonheur
Sous des centaines de soleils qui pleurent'
Ecoute comme les mots peuvent crier l'allégresse ..et tout le reste -
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