Forclos

Le souffle animé d'un rai nucléaire
En tremblantes failles parfait de receindre
À nos cous rageux ce mal circulaire.
Que n'eussions-nous pas courage de craindre
Du dol abouti, la Grande Ouvrière
Qui, Sylphe meurtrie, aurait pu éteindre
Cette ardeur qui se consumât d'œillères !
En tremblantes failles parfait de receindre
À nos cous rageux ce mal circulaire.
Que n'eussions-nous pas courage de craindre
Du dol abouti, la Grande Ouvrière
Qui, Sylphe meurtrie, aurait pu éteindre
Cette ardeur qui se consumât d'œillères !
Décidément, ceci est tout sauf clair.
RépondreSupprimerQue deviendront les plages sous la lune?
Les grands auteurs ici ne sont d'aucune
Aide à comprendre, ou ça m'en a tout l'air.
Au long du soir, le malheur se réfracte
Au ciel de plomb, qui jadis fut d'argent.
Le peuple humain qui veille et qui attend,
Est prisonnier de sa science compacte.
Comment ce monde a basculé, soudain,
Déconcertant les malheureux qui rament,
Mordant leur chair d'une invisible flamme
Et les forçant à s'enfuir au lointain.
C'est le temps de penser "ni dieu ni maître"
Et que l'esprit, dans ce grand minuit blanc,
De son remords aille se flagellant,
D'avoir brûlé ce qui ne peut renaître.