Charme syncopé

Tant les azurs, ah !
Ô cieux, éclairés de ces vices
Sombrent sous le rai
De ce très amendé sourire -
La pensée, son chant !
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Qu'autant, asuras,
Aux yeux, et clairs, et, de sévices
Sombres, souleraient
De ce très amandé sourire
La panse et son champs !
Aux yeux, et clairs, et, de sévices
Sombres, souleraient
De ce très amandé sourire
La panse et son champs !
Où dormez-vous, mes amantes divines ?
RépondreSupprimerNe venez pas dans mon village en ruine,
Je souffre vraiment moins de votre oubli
Que de tenter, par un effort suprême,
De mettre au jour l'amour enseveli.
Laissez-moi donc votre rire que j'aime.