Olfactive rumeur

Ô toi, l'ensorceleuse qui m'avait éveillé
Au ton de la douceur d'un regard émeraude
Et d'une derbouka, à l'aube déjà chaude
D'un lointain Hammamet - incise ensoleillée !
Le vent à rapporté jusqu'au pays de glace
Nos propos de silence, nos regards exprimant
Cet accord essentiel ou survit patiemment
En présente fragrance, nouvel écho de Grâce.
Olfactive mémoire si cruelle demeure
À nos cœurs étrillés ce sentiment de peur
De ne plus jamais vivre un paradis connu
Langages différents, je retiens de ces yeux
Le seul enseignement - Jamais ne dis adieu
Au parfum qui jusqu'à ton cœur est parvenu.
Le parfum qui entre
RépondreSupprimerAvec ta respiration
Jamais ne s'échappe,
Et tu portes son empreinte
En toi jusqu'au Jugement.
Mémoire olfactive
RépondreSupprimerAutorise un souvenir
Quasi Saharien.
La plage et le vent marin,
L'émeraude de ses yeux.