D'antan



Je me demandais jadis
ce qu'il en est de la réponse -

Si s'affiche le mal
quand l'uni se divise

Si demeure un pétale
de la rose indivise

Si le pluriel fait surgir de la fleur les ronces


Commentaires

  1. Cochonfucius27 novembre 2010 à 02:12

    Notre corps est un arbre,
    Il faut bien l'arroser,
    Notre esprit, un miroir,
    Il faut l'épousseter.

    Comment arroser l'arbre,
    Ne sachant où il pousse,
    Comment épousseter
    L'intérieur du reflet ?

    Epoussetez cet arbre,
    Arrosez ce miroir,
    La loi suprême existe,
    Tu as marché dedans.

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