Mais la force n'est pas de ne pas être vu, tigre : c'est de ne pas avoir à regarder.
Douance
Tout en ma maigre forme étonne l'inertie Et je surprends mon esprit d'exister encore Mais de rien, je déterre une force infinie - Les vagues de la nuit n'ont pas détruit mon corps. Tout, en mon faible esprit consterne la raison Moi qui connait - un peu - les tréfonds de mon âme Sait combien je voudrais tomber en pâmoison Contredire, un instant, ma résistance infâme Aux coups l'on s’accommode ainsi qu'un étrier Mais de celui d'avoir ne sais-je m'habiller Et j'avance en voulant écrire davantage. Car embrasser vraiment, de fureur ma douance - À ne pas succomber, me permet l’existence - Et l'indolence acquiesce à mes accès de rage.
Tigre sous la feuille
RépondreSupprimerQu'il a prise au bananier :
Ni vu, ni voyant.