Une nuit
Un jour viendra la vie, débutera le temps D’une respiration et d’un nouveau désir Dirait mon premier mot, qui sait mon premier rire ? Chercherait de l’amour pouvoir compatissant Je sentirai la faim de l’insatisfaction Qui nous fait progresser vers meilleur devenir Et marchant ce chemin au doux son de la lyre À quoi bon garder les funestes illusions ? Tant de corps disparus le long de cette route N’est-il pas évident de partir en déroute Et d’espérer enfin l’Éternel repos ? Croyances délicates que la raison appèle Jusqu’à ce qu’Esculape cette vie interpèle Et que la maladie transforme nos propos.
Une jupe cloche
RépondreSupprimerFait battre mon coeur plus fort :
Juillet se termine.